À propos des "Centres fermés", il convient de rappeler que « tant la criminalisation de l’infraction administrative que constituent l’entrée et le séjour irrégulier, que la détention des étrangers en séjour irrégulier sont dénoncées comme contraires aux obligations des États en matière de droits humains par de nombreux organismes internationaux, comme Amnesty International, le Groupe de travail des Nations-Unies sur la détention arbitraire, le Haut commissariat aux droits de l’Homme des Nations-Unies... (...) La décision de détention est prise par l’administration (l’OE) et non par le pouvoir judiciaire, ce qui constitue un recul des règles démocratiques ».
(Dossier pédagogique élaboré par la CIRÉ, p. 27 (coordination de 23 associations œuvrant pour la défense des droits des des réfugiés et des étrangers - dont Amnesty International, PAC, MRAX, FGTB, CSC...).
Tenant compte de ce qui précède, je propose de modifier quelque peu l’avant-dernier paragraphe de cette fiche, de la manière suivante :
«
Dans le même ordre d’idées, une action « forte » serait de faire voter par le Conseil communal une motion affirmant que la Ville refuse d’accueillir sur son territoire toute infrastructure d’« accueil », fût-elle fédérale, amenant un recul des libertés et des règles démocratiques (nous pensons notamment à l’agent détaché à Liège par l’Office des étrangers et au « Centre fermé » de Vottem).
»
L’insertion de ces deux liens hypertexte rendrait, me semble-t-il, plus directe, plus incarnée et plus proche de l’actualité la proposition programmatique.
Chers amis,
À propos des "Centres fermés", il convient de rappeler que « tant la criminalisation de l’infraction administrative que constituent l’entrée et le séjour irrégulier, que la détention des étrangers en séjour irrégulier sont dénoncées comme contraires aux obligations des États en matière de droits humains par de nombreux organismes internationaux, comme Amnesty International, le Groupe de travail des Nations-Unies sur la détention arbitraire, le Haut commissariat aux droits de l’Homme des Nations-Unies... (...) La décision de détention est prise par l’administration (l’OE) et non par le pouvoir judiciaire, ce qui constitue un recul des règles démocratiques ».
(Dossier pédagogique élaboré par la CIRÉ, p. 27 (coordination de 23 associations œuvrant pour la défense des droits des des réfugiés et des étrangers - dont Amnesty International, PAC, MRAX, FGTB, CSC...).
Tenant compte de ce qui précède, je propose de modifier quelque peu l’avant-dernier paragraphe de cette fiche, de la manière suivante :
«
Dans le même ordre d’idées, une action « forte » serait de faire voter par le Conseil communal une motion affirmant que la Ville refuse d’accueillir sur son territoire toute infrastructure d’« accueil », fût-elle fédérale, amenant un recul des libertés et des règles démocratiques (nous pensons notamment à l’agent détaché à Liège par l’Office des étrangers et au « Centre fermé » de Vottem).
»
L’insertion de ces deux liens hypertexte rendrait, me semble-t-il, plus directe, plus incarnée et plus proche de l’actualité la proposition programmatique.
Bien à vous,