Par. 2 : processus d’insertion culturelle, socio-professionnelle, linguistique, démocratique et autres
Par. 3 : pour que chacun s’implique dans la vie collective, aille à la rencontre de l’autre et investisse au mieux tous les pans de la ville, politique, économique, social, culturel et relationnel
Le politique, le social, le culturel et le relationnel sont-ils des lieux où l’investissement doit être possible aussi ? Sont-ils des lieux qui favorisent l’activité économique - au sens marchand comme non marchand du terme ? Le terme socio-professionnel utilisé pour parler du travail des associations est idéologiquement connoté. Il semble indiquer que seul l’emploi (ou la formation professionnelle) permet l’insertion sociale. Peut-on soutenir que ce n’est pas le cas ? Qu’il est des participations ou des contributions sociales ou économiques (au sens large du terme) qui ne sont pas professionnelles ? Cela me paraît d’autant plus important de mettre en avant la richesse de ces contributions que le marché de l’emploi (lieu de l’insertion socio-professionnelle) déconne autant que les autres marchés, si pas plus. On y maintient artificiellement une offre rare (absence de contrôle de l’emploi caché, délocalisations, etc.) afin de justifier un travail absurde sur la demande et les demandeurs (plan d’activation, formations, etc.)
Par. 2 : processus d’insertion culturelle, socio-professionnelle, linguistique, démocratique et autres
Par. 3 : pour que chacun s’implique dans la vie collective, aille à la rencontre de l’autre et investisse au mieux tous les pans de la ville, politique, économique, social, culturel et relationnel
Le politique, le social, le culturel et le relationnel sont-ils des lieux où l’investissement doit être possible aussi ? Sont-ils des lieux qui favorisent l’activité économique - au sens marchand comme non marchand du terme ? Le terme socio-professionnel utilisé pour parler du travail des associations est idéologiquement connoté. Il semble indiquer que seul l’emploi (ou la formation professionnelle) permet l’insertion sociale. Peut-on soutenir que ce n’est pas le cas ? Qu’il est des participations ou des contributions sociales ou économiques (au sens large du terme) qui ne sont pas professionnelles ? Cela me paraît d’autant plus important de mettre en avant la richesse de ces contributions que le marché de l’emploi (lieu de l’insertion socio-professionnelle) déconne autant que les autres marchés, si pas plus. On y maintient artificiellement une offre rare (absence de contrôle de l’emploi caché, délocalisations, etc.) afin de justifier un travail absurde sur la demande et les demandeurs (plan d’activation, formations, etc.)